Les cours ont repris.
Je suis déjà épuisée.
J'ai pas d'appart'.
Je flippe.

Résumé des vacances :

Dad : 47 ans

Loulou : 8 ans

Sterenn et le bro' : 4 mois et 20 ans

A suivre, Eu 2009 ou la puissance de nous.

Mes loukoums en huile de colza, ra-ssu-rez-vous !
Je ne suis pas passée sous un tank columbien, je ne me suis pas faite empaler par un dromadaire pointu, je ne me suis pas prise de tarte au ciment dans la caboche, JE SUIS EN VIE !
Hourra ! ... Non ? Bon.
Bref tout ça pour vous dire, chères dorades aux senteurs exotiques, que je suis tout simplement non-apte à publier quoi que ce soit depuis quelques semaines !
D'abord parce que les 2 premières semaines de Juillet se sont enchainés résultats du bac et glandouille intense et geekage professionel permanent, période ponctuée de quelques rebondissements (sement) et de quelques sorties diverses, l'une d'entre elle comptant d'ailleurs mon tout frais, tout beau, tout chaud dernier VOMIS EN DATE. (Applaudissements)
Ensuite parce que depuis le 17, j'étais avec Mamour (ou Limonade personnelle, ou Flatulence professionelle) en Bretagne, chez le paternel. Encore une fois, moultes rebondissements (sement encore). Je tente tant bien que mal de revenir sur la toile, afin de vous tenir informés, oh lecteurs imaginaires de mon esprit à la dérive, des dernières news qui déchirent ton slip en soie.
Là tout de suite, à part que Bouille d'amour est rentré sur Paris, m'abandonnant lâââchement dans mon Orient de l'ouest, j'ai pas grand chose qui me vient.
Je voulais me coucher tôt, je me suis encore laissée prendre par l'hypnosante blogosphère.
A vite, mes koalas en cidre.

Et c'est pourquoi je n'ai rien à vous raconter, mes chers papillons de fin de journée/début de soirée.
Après les séances avec Erick presque finies, je me suis installée dans une flemmite aigue fort confortable, brusquement bouleversé par la sentence de samedi : le déménagement de ma mom et de mon bro' (à venir au prochain post).
C'est pourquoi ce jour, je ne vous tanerais point longtemps, et vous laisse avec quelques images diverses et variées.

Et en bonus track aujourd'hui, le mort de la semaine. "They don't care about us".

DEVINETTE :
Qui est sur le gribouillis juste en dessous ?

Indice : Ca ressemble à un farfadet, mais ce n'est pas une centrale nucléaire.

Après cette interlude éducative et pédagogique, voici quelques nouvelles du front, pour vous, mais oui, pour vous, mes très chers plumes d'autruches en miel.

J'ai eu la majorité de mes résultats de ce seconde semestre. Et même si c'était franchement pas de la tarte (à la rhubarbe, parce que la rhubarbe c'est funky), eh ben je m'en suis mieux tiré qu'au premier semestre.
Ce qui nous donne donc un superbe 15 en Lecture du roman sur Stendhal, un sympathique 14,5 en histoire de la mise en scène, un 13 en analyse filmique, un 11,5 en histoire de l'art, un 14 en esthétique, et un 11,5 en atelier d'écriture. Ce qui devrait faire quelque chose comme 13 de moyenne, en comptant les coeff, tout ça.

Suite et fin des nouvelles du front. Au passage, bonjour à nos amis les carpes d'eau pétillante, tenez bon les filles, on arrive avec Omo Action, vive les singes savants.

Donc, aujourd'hui c'est la continuation de mes cartons chez my mom, incessamment sous peu, elle déménage, et moi aussi par la même occasion. Puis avec beaucoup de chance, aujourd'hui, un peu moins de chance, demain, et carrément un pétage de plomb, lundi, je recevrais ma toute première et magnifique PALETTE GRAPHIQUE (orchestre symphonique en fon sonore), grâce à laquelle vous aurez, je l'espère mes amis hinuits, de plus en plus de dessins superbement drôles et captivants (Riez, c'était une joke).

Et LES SIMS 3 CHEZ DEDE , ça c'est le bien !

Marylin est fatiguée de sa vie de chat : dormir, mange, jouer, dormir, manger, jouer, dormir, manger jouer ...

Voila ce que ça donne quand je tente de faire quelque chose d'un ancien dessin sur ordi, grâce à Inkscape, que j'ai découvert aujourd'hui.
La comparaison tout de suite, pour vous, très chères loutres aguerries.

Well, I didn't. Ce fut un choc culturel. C'est dur à prononcer. Mais c'est une révélation. On sait même pas ce qu'on fume. Non mais je te jure. C'est comme les MS, ça veut dire quoi, Mark et Spencer ? On sait pas j'vous dit ! Enfin, en tout cas, je sais pas. Faudrait peut-être s'intéresser un minimum à ce qui nous entoure non ? Des choses essentielles en plus ...

Bref, trêve de bavardage, mes petites poules en chocolat. Aujourd'hui fut mon dernier jour d'examen, pour cette première année de Lettres et Arts. Oui vous pouvez m'applaudir, bande d'ingrat ! C'était pas de tout repos ! Non, 3 mois de grève, ce n'est pas de tout repos !

Et ça s'est terminé sur un entretien "allégé" d'esthétique. Allégé, puisque moi j'ai stressé comme une malade sans sédatif pendant 3 jours, alors qu'au final ça a donné :

"Bon vous avez eu 14 au devoir sur table ? Vous compris le texte dans l'ensemble mais vous avez fait quelques erreurs ... Vous avez bien compris les explications ? On ne revient pas dessus ?"
"Euh non ça va, vous avez fait un petit résumé tout à l'heure et ça comprenait la majorité des erreurs que j'ai faites"
"Très bien, alors on commence"
[Ici, je commence à trembler tel un faon qui se dresse sur ses pattes pour la première fois.]
"Qu'est ce que vous avez pris comme option d'arts cette année ?"
[Là je ne sais pas ce qui se passe]
"Heu Cinéma et Théâtre."
"Pourquoi ? ... Et ne me dites pas "parce que j'aime ça" ou "parce que j'en fais depuis toute petite" on le sait très bien tout ça, dites moi autre chose."
"Hein? ... Euh d'accord alors heu..."
Donc en gros, l'oral d'esthétique a été un oral de :

"justifie tes choix de filières en intégrant des trucs intéressants genre "j'ai voulu comprendre comment on peut construire une esthétique du cinéma" en faisant allusion à ce qui pourrait l'intéresser. Donc un peu d'esthétique, un peu de réflexion sur les deux arts choisis, une ou deux références à la volée, et c'est dans la poche (celle qui est sous les yeux aussi ouaip).

La suite dans la journée, ou demain. Et les résultats de cette farandole de partiels, dans la semaine.


En attendant, souvenirs souvenirs ... 6 culs à Hyde Park.

Après un an d'attente, mes agneaux tous chauds, je reviens enfin embellir votre été, ou moisir votre glandouille, sur la toile avec encore plus de conneries inutiles et stupides.

N'ayez point peur, oh doux amis virtuels faits de fils électriques, de clics et autres fautes de frappes, je ne serais point d'ores et déjà en pleine activité. Il faudra sans doute subir la longue attente de quelques jours pour que j'atteigne une vitesse de croisière estivale en cette année 2009 qui me plombe de plus en plus les molaires. Inférieures. Gauches.

Au programme, quelques élucubrations inintéressantes, des critiques impertinentes, je rabache ma life encore et toujours, et puis peut-être un ou deux dessins, trois ou quatre photos, et cinq ou six points d'exclamation.

Là en ce présent instant, très cher lecteur inexistant, je suis malade, donc it's la loose (je préfère l'écrire comme ça, à la réflexion). Au lieu de réviser mon ultime oral de Lundi, que j'ai même pas commencé à lire le titre du cours, je continue dardar de glander. Et au trôt la branlette, faut pas se fatiguer non plus !

Ah ouais, et surtout, enlevez vos talons, ou vos chaussons, ou vos claquettes, et courrez chez Erick Nguyen,
parce que ce mois-ci, la bande amicale familiale de nous même, made in Babe London Putain De Voltairiens Qu'On Kiffe Sa Mèrelipopette,
Et ben nous, on taffe pour lui, et ça va être fendard, c'est moi qui vous le dit !